Les
allégations nutritionnelles et de santé sont des mentions valorisantes que l’on peut retrouver sur les compléments alimentaires. De manière générale, elle doivent être loyales puisqu’elles influencent l’achat du consommateur. A ce jour, un nombre limité d’
allégations nutritionnelles et de santé est autorisé et strictement encadré par la réglementation européenne.
Dans le but d’harmoniser les pratiques entre les États membres de l’UE et d’assurer un niveau élevé de protection des consommateurs, le règlement (CE) n°1924/2006 encadre l’emploi des
allégations nutritionnelles et de santé et pose le principe de listes positives. Seules les allégations qui ont fait l’objet d’une autorisation communautaire peuvent être utilisées par les opérateurs du secteur alimentaire. Celles-ci figurent dans un registre communautaire. Par ailleurs, le règlement (UE) n°1169/2011 prohibe l’usage d’allégations thérapeutiques.
Étant donné l’engouement des consommateurs pour les compléments alimentaires, la DGCCRF* réalise depuis quelques années des enquêtes visant à contrôler les sites internet des grands opérateurs du secteur afin de vérifier la loyauté des messages délivrés.
"En 2015, la répression des fraudes a conduit une enquête sur les sites Internet spécialisés dans le secteur des compléments alimentaires. 80 % d’entre eux étaient non conformes à la législation, notamment à cause des bénéfices nutritionnels et de santé qu’ils revendiquaient" (Le Monde, 28 octobre 2018)Deboterah veille aux allégations mentionnées sur ses Box. Par exemple, sur notre
Box bien-être IMMUNOBOOST, "
la vitamine C et la vitamine D contribuent au fonctionnement normal du système immunitaire" est une allégation santé autorisée. De plus, ces deux vitamines sont d'origine naturelle, l'une issue de l'Acérola, l'autre de l'huile de foie de morue.
*Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes